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Le silence des saisons

Madagascar
Renaissance
Marc & Farouk
Baritone
Compostela feat.Ialma
Green river
Bamako
Le silence des saisons
The postcard
Une dernière danse
Dany on the road
Petit Modave
label: 
Agua music/Bisceglia music/T2 International
intervenants: 

 

Quentin Dujardin: guitares nylon, fretless, acoustique, bariton, slide, 12 cordes & electrique, ukulele, mandoline, basse, piano, orgue hammond, percussions & effets

Olivier Hernandez: harmonica chromatique
Julie Mondor: violoncelle & tubes sur "Renaissance"
Nicolas Stevens: violon sur "Renaissance"
Fred Malempré: percussion sur "The postcard"

Artiste invitét: Ialma - voix sur "Compostela"

 

Musique composée et arrangée par Quentin Dujardin
Enregistré et mixé chez Agua music studio par Quentin Dujardin (Belgique)
Masterisé chez EQuus par Pieter De Wagter

production artistique: 
Quentin Dujardin

A PROPOS DE L'ALBUM

Se pourrait-il que Quentin Dujardin vous laisse à nouveau une trace indélébile au bord du chemin...Une sensation vivifiante & apaisante. Dès la première écoute, c'est l'atmosphère d'un grand moment musical qui semble se dégager de ce album intitulé LE SILENCE DES SAISONS.

Fort de ces expériences en tant que compositeur pour le cinéma ou la télévision - le titre du même nom a été sélectionné au prestigieux Festival Soundtrack_Cologne 10 (Allemagne)- l'artiste avance sereinement dans sa nouvelle aventure guitaristique. La frontière reste mince entre ce que l'on nomme encore aujourd'hui la world music, le jazz, le classique ou la musique de film et c'est exactement sur ce fil que se trouve l'artiste. Aucune mode ne se doit d'être suivie, aucun courant musical ne lui impose sa discipline, seul l'instinct de la belle musique compte pour continuer à partager plus loin les sons sortis de sa guitare et toucher un public qui ne peut que grandir.

Quentin Dujardin réinvente ainsi sans cesse son univers musical pour mettre aussi en son cette expérience que nous vivons tous: l'omniprésence de ce rapport entre l'Homme et la Nature. LE SILENCE DES SAISONS nous parle avec simplicité de cette inspiration qu'il cotoye quotidiennement et dont il use à profusion pour construire ses mélodies, élaborer ses arrangements. Le silence aussi qu'elle lui impose ainsi que sa répétition qui se transpose tel un motif ou une idée musicale récurrente (Baritone).

Quelques belles collaborations enrichissent cette nouvelle production comme cette envolée magistrale sur le titre Compostela avec les Galiciennes de Ialma qui prêtent merveilleusement leurs voix aux guitares. Il y a aussi la présence discrète mais incontournable d'Olivier Hernandez qui distille son harmonica avec finesse et lyrisme (Renaissance). Le guitariste retrouve également l'épure du solo (Marc & Farouk) et sa guitare slide (Green river & Dany on the road) comme un écho à ses albums précédents, Impressionniste (Agua music-2010) et Distances (Agua music/Songtone-2012). Notons également The postcard qui inaugure le premier épisode de cette série virtuelle Paysages légendaires avec la voix de Robert Redford.

Quentin Dujardin continue sa route avec régularité et innovation pour porter plus loin sa pierre à l'édifice musical de ces artistes inclassables et c'est tout bonheur pour le public !

 

LE SILENCE DES SAISONS par Quentin Dujardin

“J’aime les choses lentes. Une respiration à l’air du bois, le bruit de la rivière. Sans doute ce qu’il reste de sacré à l’heure de la vitesse. La foi ne m’a jamais quitté comme ma guitare qui semble avec le temps ressembler à un vieil arbre qui me remplit l’âme au toucher. J’aime m’en éloigner pour y revenir comme cette chose immuable qui nous habite : la Vie.

Des cordes et encore des cordes tendues pour un son, une vibration à transmettre. C’est certainement la chose qui restera sur le bord de la route: une sensation nostalgique qui m’habite depuis mon enfance. Un spleen naturel. Une rythmique du corps qui vous est propre. Des mélodies dans la tête et une manière de travailler en solitaire. Un refuge.

Se raconter des histoires à soi-même et se demander si elles résonneront à l’extérieur. Des heures passées à chercher la lumière dans le son pour créer l’émotion & réveiller la partie la plus infime au fond de chacun de nous. Celle qui n’appartient pas à la masse organisée mais bien au chaos intérieur que nous renfermons tous.

Etrange sensation que de faire des disques de guitare avec le temps… certainement le terme de « bande son » me paraît être avec le recul le plus approprié à ce qui sort de moi-même. Suggérer des images à l’auditeur pour évoquer des espaces libres à imaginer; travail fascinant que de manipuler cette magie du silence.”

 

"*** La guitare nylon de Quentin Dujardin a une sonorité extraordinaire. Elle peut se faire légère comme une source de montagne, tempétueuse comme un torrent, majestueuse comme un large fleuve, ironique comme une cascatelle, symphonique comme le Niagara." -Le Soir - Novembre 2014

"Tantôt enveloppé de la chaleur d’un harmonica (que Toots n’aurait pas refusé), tantôt bluesy (Dany on the road) ou encore respirant la galice (le sublime "Compostela" avec Ialma), l’album dévoile plusieurs pièces maîtresses dont un coup de cœur pour Renaissance. Et qu’il y ait très peu de morceaux chantés renforce cette impression d’assister à un film qui n’a pour grands espaces que l’infini de notre imaginaire." -Vers l'Avenir - Octobre 2014

"Un opus lumineux, de ceux qui font voyager l’esprit et l’imagination, tout en douceur mais non sans audace, nourri de classique mais aussi de jazz, blues, trad, musiques de film… Les guitares (classique, slide, folk, baryton, 12 cordes et on en passe) de Quentin Dujardin y ondulent ou virevoltent dans l’air avec sérénité, sans effet de manche." -La Libre Belgique - Octobre 2014

 

"Un voyage où le silence est d'or" -Larsen - Novembre 2014

"L'excellent guitariste nous livre un album tout en douceur, ayant l'oeil pour le détail, sans oublier les silences nécessaires" -Agenda - Novembre 2014

"La musique de Quentin Dujardin se déploie sans conscience des genres, ni des courants dominants. C'est avant tout un voyage sonore & bucolique" -L'Echo - Novembre 2014

 


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